Lundi 26 mars 1979.

C'était une belle journée mais plus froide. Je suis sorti pour distribuer des Interview. Je me suis arrêté à Primavera, je suis tombé sur Audrey, la propriétaire, j'ai décidé qu'elle devait être parfaite pour faire le tour des nouveaux endroits et m'apprendre les nouveaux trucs. Nous avons couru partout, nous nous sommes amusés. Audrey a raconté qu'une femme avait apporté un Castellani, qu'elle lui avait donne 100 dollars, que maintenant ça en valait 10000. C'est comme ça que ça se passe, c'est la règle du jeu de la brocante. Si c'est une vieille personne qui vous le vend, vous lui faites une fleur et lui donnez un petit peu plus. C'est comme lorsqu'on va au marché aux puces, et qu'on voit quelque chose qui vaut vraiment très cher et que le vendeur ne le sait pas — on ne dit rien. Et les catégories disparaissent. C'est comme l'art déco — on voit rarement une pièce art déco de nos jours. Les gens achètent et les mettent dans un coin, quand elles sont collectionnées, des catégories disparaissent (catalogues $ 8). Ensuite, comme nous étions dans le quartier de Suzie Frankfurt, nous sommes allés sonner à sa porte. Suzie a l'air bien. Elle a un look de pute en ce moment. Les cheveux frisés, tirés en arrière, d'un côté. Et des épaules vraiment larges. Extrêmement. C'est comme ça qu'elle est le mieux. Elle a vraiment l'air riche.

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